Questions fréquentes

Je ne suis conventionné (« in-network ») avec aucune compagnie d’assurance. Cependant, bien des assurances maladie remboursent les soins reçus par les fournisseurs non-conventionnés (« out-of-network »). Si c’est la cas de votre contrat d’assurance maladie, vous aurez droit à un remboursement pour les séances de psychothérapie ou de psychanalyse que vous ferez avec moi. Je pourrai vous aider à comprendre le montant du remboursement auquel vous avez droit et ce qui restera à votre charge afin de convenir avec vous d’un montant des honoraires approprié.

Si votre assurance ne rembourse pas les prestations reçues « out-of-network », je ferai de mon mieux pour rendre le traitement financièrement accessible pour vous, en fonction de votre situation individuelle (revenus et obligations financières). Si nécessaire, je pourrai aussi vous orienter vers des cliniques qui proposent une psychothérapie ou psychanalyse à honoraires modérés.

La fréquence des séances est fixée par commun accord entre le patient et le psychanalyste à l’issue du processus de consultation. Je vous ferai une recommendation par rapport à la fréquence du traitement, mais la décision ultime par rapport à la fréquence des séances appartient au patient. Cela dit, comme je ne crois pas que la psychothérapie puisse être efficace à une fréquence inférieure à une fois par semaine, je ne propose pas des traitements à une fréquence inférieure à celle-ci.

Non, la première consultation n’est pas payante.

C’est une question légitime, or il est souvent difficile pour le thérapeute d’y apporter une réponse valable car il s’agit de quelque chose d’imprevisible et qui varie selon les circonstances de chacun. 

Freud a écrit en réponse à cette même question: « Notre réponse est comme celle donnée par le Philosophe au Voyageur dans la fable d’Esope. Quand le Voyageur a demandé quelle serait la durée du voyage qui l’attendait, le Philosophe a simplement répondu ‘ Marche ! ‘ et plus tard a justifié cette réponse en apparence peu amène au motif qu’il devait connaître la longueur de la foulée du Voyageur avant de pouvoir lui dire combien de temps durerait le voyage. »

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